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Interlude

N'ayant que bien peu d'inspiration et de courage en ce moment, je vous livre une nouvelle déjà ancienne, dont le vieil adolescent que je suis est le modeste auteur. Soyez indulgents ! Ou pas...

 

 

Les liens du sang.doc

 

 

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Ce n'est pas trop de saison mais c'est pour vous mettre dans l'ambiance.

 

 

Commentaires

  • En effet, la fin refroidit bien...;-)

  • brrrrrrrrr: remet ta robe sarah ;-))
    Salut nck.

  • Sur certains points c'est pourtant un peu du réchauffé non ? :oB

  • Ecrit par : Nicks | 21.07.2009

    Oui et non...;-)
    On pourrait faire une vague analogie avec "Le Parfum".
    Les amours perdues : éternel sujet... et on fait ce qu'on veut de la fin ;-)

    http://www.youtube.com/watch?v=7IYjA2FKY94
    C'est vieillot, je sais !... mais sur le fond... pis ça te changera de ton jukebox ;-))
    ( et c'est du grand Serge...)

  • Très jolie chanson en effet mais mon juke box est très bien, cela dit il est vrai que je pourrais le renouveler un peu.

    Sur la nouvelle il n'y pas que le thème des amours perdues mais si tu en as envie, je te laisse chercher. Je n'aurais pas pensé à faire une analogie avec Le parfum, dont il me semble que le parti pris esthétique est assez différent. Il y a bien sûr la recherche de l'amour et cette sorte d'invisibilité mais elle est clairement surnaturelle dans ma nouvelle (il s'agit davantage d'oubli d'ailleurs) et je crois plus avoir développé un côté sombre et romantique qu'un aspect glauque et morbide (mais ptet que je me suis planté :oB)

    Et puis bon, si le style est très pensé (pour le meilleur ou pour le pire, je n'en sais rien), je ne vais pas prétendre que j'ai maîtrisé toute la symbolique enfouie dans ces quelques pages. Ca vient un peu comme ça peut au fil de l'histoire. Je voulais juste quelque chose de noir, de romantique et de fantastique en m'inspirant des bouquins de vampires que j'ai pu lire. Là pour le coup j'ai laissé pas mal d'indices dès le début...

  • Pour Le parfum, en fait j'y vois une vague analogie dans la mesure où l'un ( Grenouille ) comme l'autre (Daniel) n'existent pas pour les autres, l'un : n'a pas d'odeur, l'autre...
    et en arrivent tous les deux à commettre les mêmes actes. Voila, c'est tout, analogie lointaine, je te le concéde.

    "et je crois plus avoir développé un côté sombre et romantique qu'un aspect glauque et morbide (mais ptet que je me suis planté :oB) "

    Non,non..enfin pour moi ;-)

    "Je voulais juste quelque chose de noir, de romantique et de fantastique en m'inspirant des bouquins de vampires que j'ai pu lire "

    Bein, c'est plutôt réussi... ( j'aime pas les histoires de vampires, mais bon ;-)

    Par contre, Daniel, depuis le départ de sa "douce et tendre" subit une sorte de "sortilége", contre lequel il dit ne rien pouvoir y faire mais, qu'il aimerait arrêter ( c'est signifié dans quelques phrase du texte....)
    J'ai bien conscience que tu places cette histoire dans le surnaturel... il n'empêche

    "Tous les soirs, je pars seul, je rentre seul. Il ne peut pas en être autrement..."

    Cette phrase est très fataliste... comme si une force suprême ( un dieu quelconque...) l'empêchait d'agir... N'oublie pas que je suis une pure laïque ;-) l'homme n'est-il pas maitre de son destin ?

    En étoffant la période avant retrouvailles avec Lisa, elle aurait pu le délivrer de son "sort"... et ça nous faisait un happy end !... mais je dois être trop romantique ;-))

    (Il est très bien ton jukebox, j'ai juste voulu dire que ce n'était pas le même style de musique, c'est tout ! )

  • Je suis un pur laïc mais c'est valable pour ce qui est de la vie de la cité, mais je ne crois pas forcément à la maîtrise du destin, le hasard est trop présent et nous avons tous une nature qui nous gouverne plus ou moins, bien que nous puissions la changer à la marge. Pour le coup, j'ai donc choisi d'être complètement fataliste avec cette nouvelle car je ne voulais pas de happy end, ce qui n'est pas incompatible avec le romantisme, bien au contraire.

    J'ai résolument placé cette histoire sous le sceau du surnaturel et Daniel (qui ne s'appelle pas Daniel, double identité du personnage principal avec emprunt d'un prénom angélique, "l'ange noir, celui qui s'habille en blanc" ) et soumis à sa nature démoniaque au final, qui le pousse à tuer. On pourrait tracer un parallèle avec l'amour dévorant car trop absolu etc...Enfin, il y a tout un tas de renvois à des thèmes qui me tiennent à coeur en général, le temps notamment.

    En tout cas merci de ton intérêt :)

  • mmmh.. pour finir ( les thémes abordés pouvant donner lieu à des discussions sans fin ;-)

    "je ne voulais pas de happy end, ce qui n'est pas incompatible avec le romantisme, bien au contraire."
    Exact ! mais dans le cas présent, je ne trouve pas très romantique de quitter son unique amour après l'avoir tuée... enfin bon...

    "En tout cas merci de ton intérêt :)"
    Pas de quoi ... ça me prend, parfois...les soirs de pleine lune ;-))

    (et j'oubliais : tu as une jolie plume ;-)

  • Attention avec l'emprunt de prénoms angéliques, il faut demander la permission à tout entourage d'abord ! Blague un peu vaseuse, je le reconnais. J'ai déjà commenté ta nouvelle. N'écris-tu donc rien depuis ? Je suis sûre qu'avec la maturité, l'expérience, tu dirais des choses très intéressantes. :-p

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